23 mai 2010
L'aliénation ou le déni du réel
Lors ou en-dehors des cérémonies cultuelles, la foi qui semble animer les croyants de toutes les sectes se révèlent une erreur d’appréciation de ressentiment. Rêver peut être bénéfique certes. Mais la vie par procuration est vouée à l’échec car elle est fondée sur une passion phantasmé. Le sans dieu, encore plus l’athée saisit le degré de cette fêlure qu’arbore fièrement l’illuminé et la perçoit instantanément comme un déni du réel. Les asiles d’aliénés, que sont les églises mais aussi les terrains de sport, alimentent par le biais des imposteurs déguisés pour les circonstances une ferveur guerrière et contre nature. Amoindrie dans les replis de la suffisance, l’idéal d’humanité se meurt.
Damien Préault - 23.05.2010
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